ASTHME : Mais pourquoi certains ne répondent pas au traitement ?
ASTHME : Mais pourquoi certains ne répondent pas au traitement ?
Lorsque vous lisez « 01 » au compteur, cela signifie qu’une dose reste dans l’inhalateur. Après la dose « 01 », le compteur indiquera « 00 », le capuchon se bloquera, et le dispositif ne contenant plus de poudre ne pourra plus fonctionner. Il convient de s’assurer de la bonne utilisation des systèmes d’inhalation idéalement à chaque consultation et au moins une fois par an. Enfin, le rinçage de la bouche après inhalation et l’utilisation de chambre d’inhalations préviennent la survenue de manifestations oropharyngées.
- Les glucocorticoïdes inhalés sont les anti-inflammatoires indiqués en première intention dans l’asthme persistant.
- N’augmentez pas ou ne diminuez pas votre dose sans demander l’avis de votre médecin.
- Cependant, les processus en cause dans cette absence de réponse restent mal compris.
- D) Retirez l’inhalateur de votre bouche et retenez votre respiration pendant environ 10 secondes ou aussi longtemps que possible.
La fraction déglutie (60 à 90%) est absorbée par le système digestif et les molécules choisies sont caractérisées par un important effet de premier passage hépatique afin de réduire l’exposition systémique par cette voie. La faible proportion de médicament aboutissant dans la circulation systémique est toutefois susceptible d’induire des effets indésirables généraux pour les plus fortes doses. Les caractéristiques pharmacocinétiques différentes des corticoïdes inhalés impliquent la prise en compte d’équivalence de doses entre molécules. Une posologie journalière de 1000 µg de béclométasone forme standard à 3 µm correspond à 800 µg de budésonide, 500 µg de fluticasone, 400 µg de mométasone, 400 µg de beclometasone 1 µm, 320 µg de ciclésonide.
Mécanismes d’action des différentes molécules
La significativité clinique de ces troubles biologiques n’est pas clairement établie. Plusieurs études tendent à démontrer que la probabilité de survenue d’insuffisance surrénalienne ou de syndrome de Cushing sous corticoïde inhalé est faible, sauf à fortes doses. De même, à doses conventionnelles pendant une durée de traitement de 3 ans, les corticoïdes inhalés n’induisent pas de diminution de la densité minérale osseuse, ni d’augmentation du risque fracture vertébrale. A doses fortes, les examens complémentaires mettent en évidence la présence de déminéralisation osseuse, alors qu’il manque de données fiables sur le risque fracturaire.
- La prévalence de l’asthme sévère est estimée entre 5 et 10 % en population générale.
- En résumé, les effets indésirables généraux des corticostéroïdes inhalés sont susceptibles de survenir pour des posologies quotidiennes supérieures à 1000 µg chez l’adulte et 500 µg chez l’enfant (doses exprimées en équivalent béclométasone).
- Les corticostéroïdes ne doivent pas être confondus avec les stéroïdes « anabolisants », qui sont utilisés de façon détournée par certains sportifs.
Lorsque vous utilisez le dispositif Twisthaler, vous devez vous tenir debout ou le buste à la verticale. Il convient de suivre attentivement les instructions pour que la dose nécessaire soit bien délivrée jusqu’aux poumons. ASMANEX TWISTHALER contient la substance active temporaryhealthinsurance furoate de mométasone, qui appartient à un groupe de médicaments appelés corticostéroïdes, connus également sous le nom de stéroïdes. Le manque ou la perte d’efficacité est souvent liée à un défaut d’observance ou à une mauvaise utilisation des systèmes d’inhalation.
Liste des effets indésirables possibles :
La recherche systématique d’une posologie minimale efficace en fonction du contrôle de l’asthme permet de s’affranchir de tels effets indésirables généraux. Comme pour tout traitement inhalé, la technique d’inhalation est un élément important de l’efficacité clinique. Le rinçage systématique de la bouche après inhalation est un moyen simple de prévenir la survenue de candidose buccale ou de gêne pharyngée.
Médicaments existants
La recherche de la dose minimale efficace permet de prévenir l’apparition d’effets délétères systémiques. Cette stratégie ne doit pas être remise en cause par la survenue d’une exacerbation unique sans critère de gravité. Le contrôle de la maladie est en effet évalué à partir de critères cliniques et spirométriques sur une période de 3 mois. Aucun corticoïde inhalé n’a démontré son intérêt et n’a donc d’indication seul dans la BPCO.
Comment le prendre ?
Cela assure très une faible biodisponibilité orale et peu ou pas d’effet corticoïde systémique de la fraction déglutie absorbée dans le système gastro-intestinal. L’attention des prescripteurs sera attirée sur les équivalences de doses entre corticoïdes inhalés , dont la connaissance permet de prévenir la survenue d’effets indésirables et une meilleure prise en charge sur le long terme. Cependant, chez certains patients, la dose en début de traitement peut être de 200 microgrammes, soit 1 dose ou inhalation, deux fois par jour administrée avec la forme ASMANEX TWISTHALER 200 microgrammes poudre pour inhalation.
Les glucocorticoïdes inhalés sont les anti-inflammatoires indiqués en première intention dans l’asthme persistant. Le mécanisme d’action au niveau des cellules bronchiques n’est pas spécifique par rapport aux autres organes. La fraction déposée dans les bronches, responsable des effets utiles en clinique, représente 10 à 40% de la dose inhalée.
Avant de retirer le capuchon blanc fixé sur le dispositif, assurez-vous que le compteur et l’encoche sur le capuchon sont alignés l’un en face de l’autre. Tenez la base et tournez le capuchon dans le sens inverse des aiguilles d’une montre pour le retirer. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre.
En pratique clinique, il n’existe pas de contre-indication absolue à la prise de corticoïde inhalé, hormis de rares cas d’allergie grave à l’un des constituants. Les effets indésirables locaux (gêne pharyngée, candidose buccale) sont facilement prévenus par le rinçage de la bouche après inhalation. La freination du fonctionnement de la glande surrénale et le retentissement sur le métabolisme osseux peuvent survenir en cas d’administration prolongée à forte doses.